L’air de la mer rend libre (France)

(1h30) de Nadir Moknèche

avec Youssouf Abi-Ayad, Kenza Fortas, Saadia Bentaïeb, Zinedine Soualem, Lubna Azabal, Zahia Dehar, Arturo Giusi Périer

L’autre Laurens (France/Belgique)

(1h57) de Claude Schmitz

avec Olivier Rabourdin, Louise Leroy, Marc Barbé, Kate Moran, Edwin Gaffney, Rodolphe Burger, Francis Soetens, Tibo Vandenborre

Bernadette (France)

(1h32) de Léa Domenach

avec Catherine Deneuve, Denis Podalydès, Michel Vuillermoz, Sara Giraudeau, Laurent Stocker, François Vincentelli, Lionel Abelanski, Artus

Des idées de génie ? (France)

(1h33) de Brice Gravelle

Documentaire sur les magasins GIFI

Entre les lignes (UK)

(Mothering Sunday) (1h44) d’Eva Husson

avec Odessa Young, Josh O’Connor, Olivia Colman, Colin Firth

Je vous salue salope : La misogynie au temps du numérique (CDN)

(1h44) de Léa Clermont-Dion et Guylaine Maroist

Documentaire

Lost in the night (Mexique)

(Perdidos en la noche) (2h) d’Amat Escalante

avec Juan Daniel, Garcia Trevino, Ester Exposito, Barbara Mori

Negative numbers (France/Géorgie)

(1h33) d’Ute Beria

avec Sandro Kalandadze, Viktor Barbakadze, Tedo Bekhauri, Lexo Gugava

Notre corps (France)

(2h48) de Claire Simon

Documentaire

Le règne animal (France)

(2h08) de Thomas Cailley

avec Romain Duris, Paul Kircher, Adèle Exarchopoulos, Tom Mercier, Saadia Bentaïeb, Billie Blain, Xavier Aubert, Gabriel, Iliana Khelifa, Paul Muguruza

LES COUPS DE CŒUR

Pourquoi il faut aller voir :

Le règne animal, parce qu’on attendait avec impatience la seconde réalisation de Thomas Cailley, neuf ans après Les combattants (2014) ; pour le scénario proche d’une fable écolo-fantastique écrit par Thomas Cailley et Pauline Munier ; parce que Romain Duris et Paul Kircher (découvert dans Le lycéen) sont tous les deux émouvants et parfaits ; parce que le film prouve que l’on peut faire des films fantastiques français très réussis…

(Voir également la grande critique de notre ami Patrick Langhenhoven)

Bernadette, parce qu’elle est très chouette Bernadette ; parce que Catherine Deneuve nous livre des mimiques absolument incroyables ; parce qu’elle forme un duo vengeur avec Denis Podalydès drôlissime ; parce que les répliques assassines feront date…

(Voir également la grande critique de notre ami Patrick Langhenhoven)

L’air de la mer rend libre, parce que c’est l’histoire d’un mariage arrangé, mais qui arrange bien à la fois le marié et la mariée, pour différentes raisons ;  parce que le film est très réussi ; parce que vous comprendrez la beauté du titre à la toute fin…

Véronique Regoudy-Bazaia