Novocaine
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Genre : Ciné région
L'Actu
Novocaine
Genre : SF
Pays : USA
Durée : 1h50
Réalisateur : Dan Berk et Robert Olsen
Acteurs : Jack Quaid, Amber Midthunder, Ray Nicholson
« On a tous ses secrets cachés et on cherche tous la personne avec qui les partager. » Sherry.
Nathan ne connaît pas la douleur. Il est atteint d’insensibilité congénitale à la douleur (ICD) mais cela a un prix. Il faut être vigilant face à tous les obstacles qui peuvent se transformer en objets de mort. Il en pince pour la petite caissière, Sherry, dans la banque où il bosse comme directeur adjoint. Un beau jour, la petite se laisse séduire, leurs cœurs font boum ! La vie est belle et de nouvelles sensations s’invitent à la fête. Il suffit d’une bande de pères Noël braqueurs pour que la danse change de rythme. Les sales types ont la mauvaise idée de kidnapper l’élue de son cœur. Novocaine n’a plus le choix, il se lance à leur poursuite pour retrouver sa belle.
Pour cela, il n’hésite pas à se transformer en super-héros, grâce à sa maladie, l’ICD. La police est sur le coup, mais pour l’instant, elle n’est pas très douée et le met sous la rubrique coupable. Il faut dire qu’avec la piste sanglante qu’il laisse derrière lui, difficile de le croire innocent. Sherry ne peut compter que sur Nathan et son insensibilité pour la tirer d’affaire. Le temps défile et l’issue ne peut être que fatale. L’Ankou pourrait bien s’inviter à la fête. Au final des révélations, la vérité ne sera pas ailleurs ni meilleure mais surprenante.
« On a tous ses secrets cachés et on cherche tous la personne avec qui les partager. »
Novocaine se la joue comédie romantique dans un premier temps, avec un petit amoureux atteint d’asymbolie à la douleur. Nathan Caine, notre personnage principal, est atteint d’une forme particulière, l’insensibilité congénitale à la douleur. Dans une seconde partie, il bascule dans un film d’action pure et dure, teinté de gore. Novocaine ne se contente pas de laisser une trainer sanglante, mais tout un tas de cadavres.
Dan Berk et Robert Olsen choisissent de ne pas faire dans la dentelle, mais d’assumer complétement la bonne vieille série B de bourre pif ! La mise en scène effleure quelques cadres originaux, mais bien vite revient au bon vieux classique de la série B d’action.
Novocaine prend le parti pris du divertissement en laissant de côté des personnages secondaires moins étoffés. Ce choix du peu pourrait être préjudiciable au film qui assume sa trame mince pour jouer sur d’autres créneaux. Il existe quelques films comme Incassable, traitant en partie de l’ICD. L’intérêt de Novocaine, c’est de jouer la carte du type ordinaire, handicapé par la vie, à fond.
Pour sauver celle qu’il aime, Nathan utilise ce défaut pour en faire une force. Dan Berk et Robert Olsen, dans une mise en scène malicieuse, appliquent le ralenti à bon escient, proposent quelques cadres inventifs et des situations, comme ces morceaux de verre devenant une arme efficace, une fois écrasés sur les poings. Les dialogues sont percutants et bien troussés pour flirter avec le gore qui remplit son contrat.
Notre héros, au final, ressemble à punchingball fracassé de toute part. Amber Midthunder est remarquable, nous réservant, en cours de parcours, un retournement de situation propre au genre. Jack Quaid s’appuie sur son côté flegmatique d’un type qui en prend plein la tronche pour pas un rond. Il ressemble à ces personnages de dessins animés se relevant malgré les flèches, les coups en tout genre, et autres petites misères des méchants. Novocaine vous offre un moment de détente, dans un monde qui perd la boule, renouant avec un genre que l’on avait un peu oublié.
Patrick Van Langhenhoven
Fiche technique
Titre original : Novocaine
Réalisation : Dan Berk et Robert Olsen
Scénario : Lars Jacobson
Décors : Kara Lindstrom
Photographie : Jacques Jouffret
Montage : Christian Wagner
Musique : Lorne Balfe et Andrew Kawczynski
Producteurs : Joby Harold, Tory Tunnell, Drew Simon, Julian Rosenberg et Matt Schwartz
Producteurs exécutifs : Josh Adler, Paul Barbeau, Lars Jacobson, Matt Schwartz et Sam Speiser
Sociétés de production : Infrared Pictures, Safehouse Pictures, Circle of Confusion et Domain Entertainment
Société de distribution : Paramount Pictures
Budget : 18 000 000 $
Pays de production : États-Unis
Langue originale : anglais
Format : couleur - 2.35:1
Genre : comédie, action, thriller
Durée : 110 minutes
Dates de sortie :26 mars 2025[3]
Classification :Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement
Distribution
Jack Quaid (VF : Jim Redler) : Nathan « Novocaine » Caine
Amber Midthunder (VF : Juliette Lamboley) : Sherry Margrave
Ray Nicholson (VF : Kévin Garnichat) : Simon Greenly
Jacob Batalon (VF : Anatole Yun) : Roscoe Dixon
Betty Gabriel (VF : Déborah Claude) : Mincy Langston
Matt Walsh (VF : Éric Peter) : Coltraine Duffy
« On a tous ses secrets cachés et on cherche tous la personne avec qui les partager. » Sherry.
Nathan ne connaît pas la douleur. Il est atteint d’insensibilité congénitale à la douleur (ICD) mais cela a un prix. Il faut être vigilant face à tous les obstacles qui peuvent se transformer en objets de mort. Il en pince pour la petite caissière, Sherry, dans la banque où il bosse comme directeur adjoint. Un beau jour, la petite se laisse séduire, leurs cœurs font boum ! La vie est belle et de nouvelles sensations s’invitent à la fête. Il suffit d’une bande de pères Noël braqueurs pour que la danse change de rythme. Les sales types ont la mauvaise idée de kidnapper l’élue de son cœur. Novocaine n’a plus le choix, il se lance à leur poursuite pour retrouver sa belle.
Pour cela, il n’hésite pas à se transformer en super-héros, grâce à sa maladie, l’ICD. La police est sur le coup, mais pour l’instant, elle n’est pas très douée et le met sous la rubrique coupable. Il faut dire qu’avec la piste sanglante qu’il laisse derrière lui, difficile de le croire innocent. Sherry ne peut compter que sur Nathan et son insensibilité pour la tirer d’affaire. Le temps défile et l’issue ne peut être que fatale. L’Ankou pourrait bien s’inviter à la fête. Au final des révélations, la vérité ne sera pas ailleurs ni meilleure mais surprenante.
« On a tous ses secrets cachés et on cherche tous la personne avec qui les partager. »
Novocaine se la joue comédie romantique dans un premier temps, avec un petit amoureux atteint d’asymbolie à la douleur. Nathan Caine, notre personnage principal, est atteint d’une forme particulière, l’insensibilité congénitale à la douleur. Dans une seconde partie, il bascule dans un film d’action pure et dure, teinté de gore. Novocaine ne se contente pas de laisser une trainer sanglante, mais tout un tas de cadavres.
Dan Berk et Robert Olsen choisissent de ne pas faire dans la dentelle, mais d’assumer complétement la bonne vieille série B de bourre pif ! La mise en scène effleure quelques cadres originaux, mais bien vite revient au bon vieux classique de la série B d’action.
Novocaine prend le parti pris du divertissement en laissant de côté des personnages secondaires moins étoffés. Ce choix du peu pourrait être préjudiciable au film qui assume sa trame mince pour jouer sur d’autres créneaux. Il existe quelques films comme Incassable, traitant en partie de l’ICD. L’intérêt de Novocaine, c’est de jouer la carte du type ordinaire, handicapé par la vie, à fond.
Pour sauver celle qu’il aime, Nathan utilise ce défaut pour en faire une force. Dan Berk et Robert Olsen, dans une mise en scène malicieuse, appliquent le ralenti à bon escient, proposent quelques cadres inventifs et des situations, comme ces morceaux de verre devenant une arme efficace, une fois écrasés sur les poings. Les dialogues sont percutants et bien troussés pour flirter avec le gore qui remplit son contrat.
Notre héros, au final, ressemble à punchingball fracassé de toute part. Amber Midthunder est remarquable, nous réservant, en cours de parcours, un retournement de situation propre au genre. Jack Quaid s’appuie sur son côté flegmatique d’un type qui en prend plein la tronche pour pas un rond. Il ressemble à ces personnages de dessins animés se relevant malgré les flèches, les coups en tout genre, et autres petites misères des méchants. Novocaine vous offre un moment de détente, dans un monde qui perd la boule, renouant avec un genre que l’on avait un peu oublié.
Patrick Van Langhenhoven
Fiche technique
Titre original : Novocaine
Réalisation : Dan Berk et Robert Olsen
Scénario : Lars Jacobson
Décors : Kara Lindstrom
Photographie : Jacques Jouffret
Montage : Christian Wagner
Musique : Lorne Balfe et Andrew Kawczynski
Producteurs : Joby Harold, Tory Tunnell, Drew Simon, Julian Rosenberg et Matt Schwartz
Producteurs exécutifs : Josh Adler, Paul Barbeau, Lars Jacobson, Matt Schwartz et Sam Speiser
Sociétés de production : Infrared Pictures, Safehouse Pictures, Circle of Confusion et Domain Entertainment
Société de distribution : Paramount Pictures
Budget : 18 000 000 $
Pays de production : États-Unis
Langue originale : anglais
Format : couleur - 2.35:1
Genre : comédie, action, thriller
Durée : 110 minutes
Dates de sortie :26 mars 2025[3]
Classification :Interdit aux moins de 12 ans avec avertissement
Distribution
Jack Quaid (VF : Jim Redler) : Nathan « Novocaine » Caine
Amber Midthunder (VF : Juliette Lamboley) : Sherry Margrave
Ray Nicholson (VF : Kévin Garnichat) : Simon Greenly
Jacob Batalon (VF : Anatole Yun) : Roscoe Dixon
Betty Gabriel (VF : Déborah Claude) : Mincy Langston
Matt Walsh (VF : Éric Peter) : Coltraine Duffy
