Depuis 2011, le Fes­ti­val du ciné­ma amé­ri­cain de Deau­ville s’emploie à défendre et saluer les figures émer­gentes du sep­tième art. De Ryan Gos­ling (2011) et Jes­si­ca Chas­tain (2011) à Ana de Armas (2022) et Emi­lia Clarke (2023), en pas­sant par Paul Dano (2012) ou Robert Pat­tin­son (2015), entre autres, le Prix du Nou­vel Hol­ly­wood met en lumière les comé­diens et comé­diennes d’aujourd’hui afin d’entrevoir les visages du ciné­ma de demain.

Mikey Madi­son Actrice dans ANORA de Sean Baker, lau­réat de la Palme d’Or

Mikey Madi­son s’affirme rapi­de­ment comme l’une des jeunes actrices les plus sol­li­ci­tées de sa géné­ra­tion, tour­nant à la fois pour le ciné­ma et la télé­vi­sion. Elle débute sa car­rière de comé­dienne en jouant dans plu­sieurs courts métrages. En 2018, Mikey Madi­son marque les esprits dans le rôle de Sadie, l’une des dis­ciples meur­trières de Charles Man­son, dans ONCE UPON A TIME… IN HOLLYWOOD de Quen­tin Taran­ti­no, aux côtés de Brad Pitt, Leo­nar­do DiCa­prio et Mar­got Rob­bie. En 2022, elle joue dans le cin­quième opus de la fran­chise SCREAM. Sur le petit écran, elle tient le rôle récur­rent de Max Fox, de 2016 à 2022, dans la série BETTER THINGS. Son jeu fas­ci­nant apporte den­si­té et nuance à la série et lui vaut les éloges de la cri­tique. Elle donne aus­si la réplique à Nata­lie Port­man dans la série LA VOIX DU LAC, dif­fu­sée actuel­le­ment sur Apple TV+.

Son talent éclate au grand jour dans le film ANORA de Sean Baker, lau­réat de la Palme d’Or au der­nier Fes­ti­val de Cannes et pré­sen­té cette année à Deau­ville, dans lequel elle inter­prète le rôle-titre d’Ani ; celui d’une jeune femme libre coin­cée dans ses rêves de Cendrillon.

Saluant une comé­dienne émer­gente, le Fes­ti­val du ciné­ma amé­ri­cain de Deau­ville est heu­reux d’accueillir Mikey Madi­son pour lui remettre le Prix du Nou­vel Hollywood.


Sebas­tian Stan

Sebas­tian Stan se lie d’amitié avec Cap­tain Ame­ri­ca dès 2011, en se glis­sant sous les traits de James « Bucky » Barnes. Depuis, le comé­dien ne cesse de revê­tir le cos­tume du Sol­dat de l’hiver dans de nom­breux films de l’univers Mar­vel et autres décli­nai­sons télévisées.

En paral­lèle de ces block­bus­ters sous l’égide de Dis­ney, il se révèle éga­le­ment dans des longs métrages plus inti­mistes, où se déploient davan­tage son jeu et ses nuances. Sebas­tian Stan crève l’écran aus­si bien dans la peau d’un jeune Donald Trump ambi­tieux (THE APPRENTICE) que celle, trans­for­mée, d’un acteur de théâtre en plein cau­che­mar (ADIFFERENT MAN).

Saluant le talent et l’audace, Le Fes­ti­val du ciné­ma amé­ri­cain de Deau­ville est heu­reux d’accueillir Sebas­tian Stan pour lui remettre le Prix du Nou­vel Hol­ly­wood en sa présence.

Dai­sy Rid­ley inoubliable Rey

Le talent de Dai­sy Rid­ley s’est mani­fes­té en vitesse lumière dans une galaxie loin­taine, très loin­taine, lorsque le réa­li­sa­teur J.J. Abrams la choi­sit en 2015 pour incar­ner le nou­veau visage de la saga Star Wars. Révé­lée grâce au rôle de Rey dans LE RÉVEIL DE LA FORCE, per­son­nage cen­tral d’une tri­lo­gie inédite réunis­sant Adam Dri­ver, Oscar Isaac et John Boye­ga, la comé­dienne alors incon­nue du grand public s’impose à l’écran der­rière le carac­tère intré­pide et com­ba­tif de son héroïne.

En paral­lèle de ces block­bus­ters sous l’égide Dis­ney, elle se révèle éga­le­ment dans des longs métrages plus inti­mistes, où se déploient davan­tage son jeu et ses nuances, et éblouit par sa pres­ta­tion bluf­fante dans le drame tout en rete­nue de Rachel Lam­bert, LA VIE RÊVÉE DE MISS FRAN ou dans le thril­ler MAGPIE de Sam Yates, pré­sen­té cette année au fes­ti­val South by Sou­th­west.

Saluant le talent et l’audace, Le Fes­ti­val du ciné­ma amé­ri­cain de Deau­ville est heu­reux d’accueillir Dai­sy Rid­ley pour lui remettre le Prix du Nou­vel Hollywood.