Cine-Region.fr
affiche Jury Révélation

Jury Révélation

___

Genre : Festival Cinéma

L'Actu


Clé­mence Poé­sy Présidente.

« Le gros plan est un monde – un révé­la­teur d’âmes. »

Clé­mence Poé­sy tra­vaille depuis plus de quinze ans entre la France, l’Angleterre et les États-Unis, avec des réa­li­sa­teurs comme Mike Newell (Har­ry Pot­ter et la Coupe de feu, 2005), Mar­tin McDo­nagh (Bon bai­sers de Bruges, 2008), Dan­ny Boyle (127 heures, 2010), Phi­lippe Ramos (Jeanne Cap­tive, 2011), Nico­las Pari­ser (Le grand jeu, 2015), Stan­ley Tuc­ci (Alber­to Gia­co­met­ti, the Final Por­trait, 2017) ou encore Domi­nik Moll sur la série Tun­nel dont elle est l’héroïne durant trois saisons.

En 2016, Clé­mence Poé­sy écrit et réa­lise son pre­mier court métrage, À bout por­tés, pro­duit par Silex Films et L’Opéra Natio­nal de Paris dans le cadre de la pla­te­forme 3e Scène. Le film est sélec­tion­né dans de nom­breux fes­ti­vals en France et à l’étranger, notam­ment FID­Mar­seille, Paris Courts Devant et Aes­the­ti­ca Short Film Fes­ti­val en Angle­terre, et reçoit de nom­breuses récom­penses dans des fes­ti­vals internationaux.
En 2018, elle signe son deuxième court métrage, Le Roi des démons du vent, pour la col­lec­tion Talents Cannes de l’Adami, puis Le Coup des larmes, sélec­tion­né au Fes­ti­val de Venise en 2019.

En 2020, elle donne la réplique à John David Washing­ton dans Tenet de Chris­to­pher Nolan, à Jesse Eisen­berg et Félix Moa­ti dans Resis­tance de Jona­than Jaku­bo­wicz, pré­sen­té au Fes­ti­val du ciné­ma amé­ri­cain de Deau­ville l’année der­nière. Elle tourne éga­le­ment dans le pro­chain film de Lae­ti­tia Mas­son, Un hiver en été, et passe à nou­veau der­rière la camé­ra pour un épi­sode de la série-mani­feste H24 qui sera dif­fu­sée sur Arte cet automne.
Cette année, elle se confie sur le divan du Dr. Dayan dans la série En thé­ra­pie, créée par Éric Tole­da­no et Oli­vier Nakache pour Arte et co-réa­li­sée par Nico­las Pari­ser, Mathieu Vade­pied et Pierre Salvadori.

Clé­mence Poé­sy vient de ter­mi­ner le tour­nage en Angle­terre d’une nou­velle série dra­ma­tique, The Essex Ser­pent, adap­tée du roman de Sarah Per­ry et réa­li­sée par Clio Bar­nard, et tra­vaille actuel­le­ment à l’écriture de son pre­mier long métrage.

Céleste Brunnequell

« On trouve beau­coup de liber­té dans les contraintes. Quand tout est pos­sible, tu ne fais fina­le­ment pas grand-chose. » 

Née à Paris, Céleste Brunn­quell suit des cours de théâtre dès l’âge de onze ans. En 2018, elle est repé­rée lors d’une ses­sion au Théâtre de l’Atelier par la réa­li­sa­trice Sarah Suco, qui la choi­sit pour tenir le rôle prin­ci­pal de son pre­mier long métrage, Les Éblouis (2019). Elle reçoit pour sa pres­ta­tion remar­quée le Prix d’interprétation fémi­nine – la Sala­mandre d’or – décer­né par le Jury Jeunes de la 28e édi­tion du Fes­ti­val de Sar­lat. Elle est éga­le­ment nom­mée au César du meilleur espoir fémi­nin 2020. La comé­dienne joue ensuite dans la série En Thé­ra­pie, dif­fu­sée cette année sur Arte et réa­li­sée par Éric Tole­da­no et Oli­vier Nakache. Elle vient de ter­mi­ner le tour­nage des films L’Origine du mal, sous la direc­tion de Sébas­tien Mar­nier, et Les Clés de Jade, le pre­mier film de Jeanne Aslan et Paul Saintillan.

India Hair

« Le ciné­ma est un endroit de refuge… Un endroit avec des gens que je n’aurais jamais ren­con­tré autre­ment, et qui, à la fin du film, deviennent des amis. »

Née d’un père fran­co-amé­ri­cain et d’une mère anglaise, India Hair décroche son pre­mier rôle au ciné­ma en 2011 dans Avant l’aube de Raphaël Jacou­lot. Un an plus tard, elle reçoit le Prix Lumières du meilleur espoir fémi­nin et une nomi­na­tion au César du meilleur espoir fémi­nin pour sa pres­ta­tion dans Camille redouble de Noé­mie Lvovs­ky. Elle enchaîne ensuite aus­si bien les rôles au ciné­ma (Res­ter ver­ti­cal d’Alain Gui­rau­die (2016), Petit pay­san d’Hubert Cha­ruel (2017), Crash Test Aglaé d’Éric Gra­vel (2017) ou, plus récem­ment, Man­di­bules de Quen­tin Dupieux (2020)) que sur le petit écran (La Bête curieuse de Laurent Per­reau (2017), la série Mouche de Jeanne Her­ry (2019) ou La Mal­adroite d’Eleonore Fau­cher (2019)). Cette année, India Hair est de nou­veau nom­mée au César du meilleur espoir fémi­nin pour son rôle dans Pois­son­ sexe d’Olivier Babi­net. Elle sera bien­tôt sur Arte dans la mini­sé­rie Les hautes herbes de Jérôme Bon­nell et sur le grand écran dans La Ligne d’Ursula Meier et Une jeune fille qui va bien, le pre­mier long métrage de San­drine Kiberlain.

Kacey Mottet Klein

« Pour être un bon acteur, il faut se nour­rir de la per­son­na­li­té des autres, s’enrichir en regar­dant les autres, se nour­rir des autres. »

Né à Lau­sanne, en Suisse, d’un père amé­ri­cain et d’une mère fran­çaise, Kacey Mot­tet Klein fait ses débuts d’acteur dès l’âge de sept ans. Repé­ré lors d’un cas­ting sau­vage, il tient son pre­mier rôle au ciné­ma aux côtés d’Isabelle Hup­pert dans Home d’Ursula Meier (2008), pour lequel il rem­porte notam­ment le prix du meilleur espoir suisse aux Quartz 2009. L’année sui­vante, il inter­prète Serge Gains­bourg enfant dans Gains­bourg (vie héroïque) de Joann Sfar. Il tourne ensuite dans plus d’une dizaine de films et reçoit de nom­breux prix, dont deux nomi­na­tions au César du meilleur espoir mas­cu­lin : en 2013, pour L’En­fant d’en haut d’Ur­su­la Meier, et en 2017, pour Quand on a 17 ans d’An­dré Téchi­né. Il sera pro­chai­ne­ment à l’affiche du long métrage d’Audrey Diwan, L’Événement, sélec­tion­né cette année en com­pé­ti­tion au Fes­ti­val de Venise.

Lomepal

« On peut faire de grandes choses avec trois fois rien. Ce sont les idées qui comptent avant tout. » 

Avec ses deux pre­miers albums, Lome­pal est deve­nu un pilier de la scène fran­çaise. Après l’hy­bride « FLIP », triple disque de pla­tine, dont le nom fait réfé­rence à sa pas­sion pour le skate, dimen­sion impor­tante de son quo­ti­dien qui a gran­de­ment ins­pi­ré son tra­vail, le rap­peur-chan­teur enchaîne avec « Jean­nine », aujourd’­hui disque de dia­mant, album dans lequel il se dévoile de manière plus intime en abor­dant sa célé­bri­té, ses his­toires d’a­mour, sa famille… se muant en une véri­table icône de la pop, et ce, en totale indé­pen­dance. En 2019, il donne ses deux der­niers concerts à l’Ac­co­r Ho­tels Are­na, clô­tu­rant en beau­té une tour­née triom­phale avant de faire une pause.