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affiche Le manoir Magique 3D

Le manoir Magique 3D

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Un film de Ben Stassen , Jérémie Degruson,
Avec inconnu,

Genre : Film d'animation
Durée : 1h25
Belgique

En Bref

Une vilaine famille, sans doute sous le coup d’une expulsion de leur logement par des banquiers ou agents immobiliers sans âme, abandonne un petit chaton au cœur de la ville. La petite bête effrayée croise la route d’un chihuahua qui se la pète et trouve refuge dans la pire maison du quartier. Le manoir hanté par un lapin fou et une souris carnassière ne laissera pas une nuit avant que notre pauvre petit ne succombe. Le voila donc dans l’antre de la peur et… que nenni, en lieu et place du mal et des monstres, il découvre un gentil magicien et ses créatures mécaniques devenues vivantes. Invité par le vieil homme, il rejoint la troupe des enfants de la magie qui se produit encore dans l’hôpital du coin pour le bonheur des enfants malades. Il gagne un nom, Tonnerre, et une nouvelle famille. Et nous sommes d’accord avec une gamine malade, il est plus mignon que le vieux lapin.

  Suite à un accident causé par le lapin et la souris sa complice, notre magicien se retrouve à son tour hospitalisé. Une bonne aubaine pour le neveu, agent immobilier qui récupérera le vieux manoir pour le revendre à prix d’or. C’est sans compter avec notre petit chat nommé Tonnerre. Après avoir surmonté la vindicte du lapin et de la souris, notre petit félin et ses nouveaux compagnons sont bien décidés à résister à la méchanceté du neveu. Ils feront tout pour que ses projets échouent, mais cela suffira-t-il ?

Venu de l’animation belge, le studio Wave revient concurrencer les studios américains avec un budget cossu de 25M d’euros. Le soutien du Studio Canal y est pour beaucoup. Sans surprise, ils construisent une histoire sympathique avec sa galerie de méchants qui finiront par virer de bord ou s’amender, enfin presque. Tout en bonhomie, le film raconte une histoire d’amitié et de lutte pour garder sa vie rêvée. C’est la lutte du rêve et du monde enchanté contre la raison des adultes. Non, les automates ne parlent pas et les animaux non plus. Nous trouverons les méchants agents immobiliers qui ne souhaitent qu’une chose, se faire de l’argent.


Une vilaine famille, sans doute sous le coup d’une expulsion de leur logement par des banquiers ou agents immobiliers sans âme, abandonne un petit chaton au cœur de la ville. La petite bête effrayée croise la route d’un chihuahua qui se la pète et trouve refuge dans la pire maison du quartier. Le manoir hanté par un lapin fou et une souris carnassière ne laissera pas une nuit avant que notre pauvre petit ne succombe. Le voila donc dans l’antre de la peur et… que nenni, en lieu et place du mal et des monstres, il découvre un gentil magicien et ses créatures mécaniques devenues vivantes. Invité par le vieil homme, il rejoint la troupe des enfants de la magie qui se produit encore dans l’hôpital du coin pour le bonheur des enfants malades. Il gagne un nom, Tonnerre, et une nouvelle famille.

Et nous sommes d’accord avec une gamine malade, il est plus mignon que le vieux lapin. Suite à un accident causé par le lapin et la souris sa complice, notre magicien se retrouve à son tour hospitalisé. Une bonne aubaine pour le neveu, agent immobilier qui récupérera le vieux manoir pour le revendre à prix d’or. C’est sans compter avec notre petit chat nommé Tonnerre. Après avoir surmonté la vindicte du lapin et de la souris, notre petit félin et ses nouveaux compagnons sont bien décidés à résister à la méchanceté du neveu. Ils feront tout pour que ses projets échouent, mais cela suffira-t-il ?

Venu de l’animation belge, le studio Wave revient concurrencer les studios américains avec un budget cossu de 25M d’euros. Le soutien du Studio Canal y est pour beaucoup. Sans surprise, ils construisent une histoire sympathique avec sa galerie de méchants qui finiront par virer de bord ou s’amender, enfin presque. Tout en bonhomie, le film raconte une histoire d’amitié et de lutte pour garder sa vie rêvée. C’est la lutte du rêve et du monde enchanté contre la raison des adultes. Non, les automates ne parlent pas et les animaux non plus. Nous trouverons les méchants agents immobiliers qui ne souhaitent qu’une chose, se faire de l’argent.

En face, un vieil homme amuse les enfants malades et ne désire qu’une chose, rêver encore un peu avec ses amis automates et un lapin bougon, une souris qui finit par avoir du caractère et un chaton perdu. Il trouve dans ce petit monde une nouvelle famille, et peut partager sa différence. Courage, amour, amitié, méchant prévaricateur, tout est rassemblé pour faire de ce conte urbain un bon film de Noël. Le film s’adresse d’abord aux plus petits, de 5 à 9 ans, les ados se tourneront vers d’autres fictions moins simplistes. La 3D est bien utilisée, chien fonçant sur le spectateur, la séquence du doberman ravira les bambins. Les mimiques des personnages sont soignées et la qualité au rendez-vous pour faire de ce voyage un moment de magie.

Patrick Van Langhenhoven

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