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affiche Je fais le mort

Je fais le mort

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Un film de Jean Paul Salomé,
Avec François Damiens, Géraldine Nakache, Lucien Jean-Baptiste,

Genre : Comédie policière
Durée : 1h45
France

En Bref

Jean césar du meilleur espoir aujourd’hui comédien raté à 40 ans, peine à trouver le rôle ! Une fois de plus réduit à pointer à pôle emploi. Il se voie proposer un job peu ordinaire doublure, faire le faire mort pour des scènes de crimes. Il se retrouve donc à Megève célèbre station de ski, trou paumé hors saison. Il croise la route d’une jeune juge d’instruction dont c’est la première affaire sur le terrain Noémie. Au début le courant ne fait pas de vague entre eux. En plus, Jean ne joue vraiment pas le jeu, obsédé par la réalité et toucher son rôle au plus juste. Il transforme un peu les reconstitutions. Très vite nos deux compères se lancent sur de nouvelles pistes, face à ses petits riens impossibles qui risquent d’envoyer un innocent en prisons. D'ailleurs, ils ne sont pas les seuls que cela gêne, qui souhaitent leur mettre des bâtons dans les Skis ?

Jean Paul Salomé connaît son crime, les braqueuses, Belphégor, le Fantôme du Louvre, l’excellent Arsène Lupin, Caméléon, montrent que dans le régime du polar il connaît la musique. Hélas, le film manque de rythme et d’une certaine cohérence pour rejoindre la cohorte de ses succès. Il reste un François Damien excellent dans ce personnage sortant de l’ordinaire, doublure pour scène de crime. Il forme avec Géraldine Nakache, un duo qui fonctionne bien dans l’ensemble. Dommage une fin rocambolesque et un manque parfois de rythme et de cohérence gâchent la partition. Le film louche plus vers le pilote d’une série du samedi soir, que des sujets plus léchées du réalisateur. Parfois il touche ses élans d’autrefois comme dans la première scène de reconstitution ou celle de la piscine petit moment délirant parfait. Jean Paul Salomé serait-il plus inspiré dans les grandes productions que dans des projets plus intimes ? Je vous laisse trouver la réponse par vos propres investigations. 


Jean césar du meilleur espoir aujourd’hui comédien raté à 40 ans, peine à trouver le rôle ! Une fois de plus réduit à pointer à pôle emploi. Il se voie proposer un job peu ordinaire doublure, faire le faire mort pour des scènes de crimes. Il se retrouve donc à Megève célèbre station de ski, trou paumé hors saison. Il croise la route d’une jeune juge d’instruction dont c’est la première affaire sur le terrain Noémie. Au début le courant ne fait pas de vague entre eux. En plus, Jean ne joue vraiment pas le jeu, obsédé par la réalité et toucher son rôle au plus juste. Il transforme un peu les reconstitutions. Très vite nos deux compères se lancent sur de nouvelles pistes, face à ses petits riens impossibles qui risquent d’envoyer un innocent en prisons. D'ailleurs, ils ne sont pas les seuls que cela gêne, qui souhaitent leur mettre des bâtons dans les Skis ?

Jean Paul Salomé connaît son crime, les braqueuses, Belphégor, le Fantôme du Louvre, l’excellent Arsène Lupin, Caméléon, montrent que dans le régime du polar il connaît la musique. Hélas, le film manque de rythme et d’une certaine cohérence pour rejoindre la cohorte de ses succès. Il reste un François Damien excellent dans ce personnage sortant de l’ordinaire, doublure pour scène de crime. Il forme avec Géraldine Nakache, un duo qui fonctionne bien dans l’ensemble. Dommage une fin rocambolesque et un manque parfois de rythme et de cohérence gâchent la partition. Le film louche plus vers le pilote d’une série du samedi soir, que des sujets plus léchées du réalisateur. Parfois il touche ses élans d’autrefois comme dans la première scène de reconstitution ou celle de la piscine petit moment délirant parfait. Jean Paul Salomé serait-il plus inspiré dans les grandes productions que dans des projets plus intimes ? Je vous laisse trouver la réponse par vos propres investigations. 

Patrick Van Langhenhoven

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